Décidément, les allemandes et la chirurgie esthétique c’est une extravagante histoire d’amour. Outre Martina Adams qui a choisi simplement de se faire injecter pour devenir noir, il y a cette autre allemande de 26 ans, Paris Herms, qui a force de jouer avec les poupées a décidé à en devenir une. Du personnage fictif de la télé que raffolent les enfants, elle est passée dans la réalité pour le bonheur des yeux de ses nombreux fans.
50.000 euros pour des implants mammaires
Une somme astronomique pour un résultat tout aussi monumental. Le pari de Paris Herms était d’avoir les plus gros seins d’Allemagne. Pour y arriver, elle n’a pas s’empêcher de recourir à la chirurgie esthétique, et précisément à une augmentation mammaire avec pose d’implants, sachant évidemment qu’un lipofilling mammaire, bien que plus naturel, serait incapable de produire le résultat escompté.
4Kgs de seins au total
Chaque implant mammaire introduit dans ses seins pesait environ 2 Kgs. C’est dire qu’au total, ce sont 4 kgs d’implants mammaires que traînent la Barbie Berlinoise, tandis que d’autres femmes manquent des moyens pour se faire opérer d’une hypertrophie mammaire.
Paris Herms accro à la chirurgie esthétique ?
C’est la question que l’on serait en droit de se poser, vu son goût prononcé pour les opérations esthétiques. Il n’y a pas que la poitrine de Paris qui soit refaite. Elle a subit auparavant une rhinoplastie pour se refaire le nez, elle a sans doute eu recours à l’injection d’acide hyaluronique pour rendre ses lèvres pulpeuses, sans oublier que ses pommettes sont surélevées. Donc entre les injections que proposent aujourd’hui la médecine esthétique comme alternative aux opérations chirurgicales et la chirurgie esthétique proprement dite, la jeune femme met tout en jeu pour devenir la Barbie de son enfance. Ses photos osées, où en dehors de cette poitrine exubérante qu’elle affiche, on peut voir également son visage refait et son corps remodelé, font l’objet de sa fierté, et pas seulement.
Une apparence objet de fascination
Comme pris au piège des glandes séricigènes dont se sert naturellement l’araignée pour tisser sa toile, les nombreux insectes que sont aujourd’hui les fans de Paris Herms se débattent aujourd’hui sur ses comptes privés sur les réseaux sociaux, et chacun de leur commentaire lui transmet une vibration qui l’amène vers ses proies. Elle a plus de 150.000 followers sur Instagram et son compte Facebook affiche plus de 2000 abonnés. De quoi rassurer la jeune femme ?
